Radio Cyclo

Chapo

De Bruxelles à l’Atlas marocain : cet épisode des Socquettes en Titane mêle grand voyage à vélo, chronique engagée et artisanat cycliste. On parle bikepacking, partage, lenteur, et peinture de cadres avec Carte Blanche Custom(Bruxelles). Une virée sonore qui donne envie de préparer ses sacs, de (re)peindre son cadre… et de repartir.

L’épisode en bref

• Le voyage : Pyrénées → Espagne → Portugal → ferry → Maroc (Marrakech, Ouarzazate, Essaouira, Agadir), puis retour par l’Algarve, Sardaigne, Italie, remontée jusqu’en Belgique.





• Bikepacking vs cyclotourisme : confort de jour contre confort du bivouac ; sacs compacts vs sacoches + porte-bagages ; possibilités hybrides.





• Peinture de cadres : démontage, masquage précis (vinyl cutter/“ploteuse”), apprêt, couches, vernis et ponçage entre couches ; un travail d’artisanat qui prend du temps.





• Chronique : “pédaler pour demain” — le vélo comme utopie concrète, à hauteur de ville et de cœur.

Les voix & l’équipe

Animation

Clément Soupart — producteur-animateur du podcast Les Socquettes en Titane (studio bruxellois, rendez-vous vélo en direct puis en podcast).

Chronique

Katia – « La nomade sédentaire » — chronique sur l’utopie cyclable, la lenteur choisie et l’espace public apaisé.

Invités

• Antoine (voyageur à vélo) — itinérance jusqu’au Maroc via une trace « Caravans North », gestion des rencontres, de la météo et de la déconnexion numérique.





• Dorian – Carte Blanche Custom (Bruxelles) — peinture de cadres personnalisée : masquage de précision, finitions haut de gamme, collaborations avec des marques gravel/route (ex. OPEN).

Points clés à retenir

• Voyager seul… pour mieux partager : la solitude révèle l’envie de rencontres ; on finit souvent par rouler à deux ou en petit groupe quelques jours.





• Mixer les approches : combiner sacs de bikepacking et porte-bagages avec dry-bags sanglés pour garder de la modularité (courses, eau) sans alourdir à l’excès.





• Peindre un cadre, c’est surtout de la préparation : masquage des filetages/inserts, apprêt d’adhésion, ponçage pour l’accroche, couches de peinture puis vernis dans la bonne fenêtre de temps ; reponçage pour la finition.





• Utopie concrète : le vélo ne sauve pas tout, mais il sauve des journées — une forme de résistance joyeuse au quotidien urbain.

Écouter l’épisode

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? Partage : #Bikepacking #Vélo #Gravel #Bruxelles #Maroc #Atlas #PeintureVélo #OpenCycles

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Radio Sports, partenaire média du championnat BikingMan, revient sur l’étape Alpes-Maritimes 2025 qui a tenu toutes ses promesses.
1000 km, 52 cols mythiques et plus de 22 000 m de dénivelé positif ont façonné cette aventure extrême, où chaque coureur a dû puiser profondément dans ses ressources physiques et mentales.

? Un podium forgé dans la souffrance et l’émotion

Résultats Top 5

• ? Rémi Borrion (Dijon) — 53h02
  Déjà triple vainqueur BikingMan, Rémi signe sa 4e victoire sur l’épreuve, qu’il qualifie lui-même de « plus belle ». Malgré des nausées dès les premiers kilomètres et un départ prudent (4e au CP1), il a su renverser la course grâce à son expérience et à une stratégie millimétrée.

• ? Bastien Froidevaux (Suisse) — 54h40
  Pour son premier BikingMan, cet ancien pro venu de Lausanne visait avant tout l’aventure. Il a trouvé bien plus : des émotions brutes, jusqu’aux larmes dans la descente du Turini, et une deuxième place méritée après avoir dominé les premiers checkpoints.

• ? Jan Gutermann (Île-de-France) — 60h10
  Handicapé par un genou douloureux et des soucis de selle, il n’a jamais lâché, incarnant parfaitement l’esprit ultra-cycliste.

• 4e : Yannick Rougier (Montpellier) — 63h15
  Impressionnant de régularité et de gestion d’effort sur les plus longues rampes.

• 5e : Steven Leroy (Le Havre) — 65h06
  Toujours combatif, il complète ce Top 5 d’un niveau exceptionnel.

? Chaleur accablante, cols sans fin : une édition redoutable

Le décor était planté : une canicule dès la première journée a provoqué de nombreux abandons. Bastien Froidevaux confiait :

« L’avant-dernier col, il n’y avait pas un arbre pendant une heure. Avec la chaleur, c’était terrible. »

Mais c’est aussi pour cela que le BikingMan fascine : repousser ses limites, trouver des solutions dans la difficulté, gérer le corps et la tête sur trois jours sans filet.

?‍♂️ Entre performance et introspection

Bastien résume l’état d’esprit partagé par beaucoup :

« On fait du sport pour vivre ces émotions. On évacue tout. Comme dans la vie : tu as froid, tu trouves une solution, tu dors où tu peux. »

Quant à Rémi, ses 15 000 km déjà accumulés cette année parlent pour lui. Il enchaînera dès le mois prochain avec le BikingMan Aura, toujours en quête du titre sur le championnat.

? Des partenaires fidèles pour équiper les ultra-cyclistes

• Ekoï, équipementier officiel, présentait une collection conçue avec Axel Carion (fondateur du BikingMan) pour répondre aux exigences extrêmes : maillots à flasques intégrées, vestes techniques, chaussettes et gants pensés pour l’ultra-distance.

• Go’lum, la frontale ultra-légère « qu’on oublie sur le casque », testée dès les premières éditions et encore perfectionnée cette année avec des modes auto-adaptatifs pour prolonger l’autonomie.

? Suivez la suite du championnat avec Radio Sports

Radio Sports continue de couvrir tout le championnat BikingMan 2025. Retrouvez bientôt :

• le résumé du BikingMan Aura en juillet,

• puis d’autres étapes spectaculaires à travers le monde.

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Cette 50e édition restera un moment fort de la saison. Imaginez : la Corse, ses routes sauvages, et plus de la moitié des participants qui vivaient ici leur tout premier BikingMan. Une vraie vague de nouveaux venus, tous réunis pour défier l’île de Beauté sur une étape du Championnat du Monde d’ultra distance.

Côté organisation, rien à redire. Axel Carion et toute son équipe avaient balisé le parcours de main de maître. Mention spéciale, encore une fois, aux Race Angels. Leur gentillesse, leur soutien, leur énergie : c’est ce qui fait la magie du BikingMan. D’ailleurs, à l’arrivée, un seul message dans toutes les bouches : « Merci et bravo ! »

Côté sportif, quel niveau ! Voici le classement général :

• Louis Défaut, premier en 45 heures et 12 minutes.

• Simon Scodavolpe, deuxième en 50 heures et 17 minutes.

• Simon Savre, troisième en 52 heures et 30 minutes.

• Lorris Pasquier, quatrième en 54 heures et 45 minutes.

• Benjamin Bodot, cinquième en 56 heures et 10 minutes.

Et chez les femmes, coup de chapeau à Diane Servettaz, la Savoyarde, qui boucle l’épreuve en 72 heures et 38 minutes, et l’emporte dans sa catégorie.

Mais avant de se lancer sur les routes corses, on a vécu une vraie ambiance de championnat du monde. La veille du départ, lors du contrôle des vélos, on a croisé des participants souriants, un peu stressés, mais heureux d’être là. Tous prêts à écrire leur histoire sur cette édition anniversaire.

Pour revivre l’ambiance, rendez-vous sur RadioSports.fr pour découvrir la vidéo résumé de ce BikingMan Corsica 2025.

Merci de nous avoir suivis, et à très vite pour un nouveau rendez-vous ultra !

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Quelle étape en Corse pour cette 50e édition d'un BikingMan. Axel Carion, entouré de son équipe, avait bien préparé son parcours. Aucun problème à noter durant toute cette semaine, avec toujours le même dévouement et la merveilleuse bienveillance des fameux Race Angels. C'est d'ailleurs les m^mes mots qui reviennent dans la bouche des coureurs : merci et bravo

Record de l'épreuve battue, avec 50 % des participants, dont c'était un premier BikngMan.

Classement final

1. Louis Défaut – 1er en 45h12min

2. Simon Scodavolpe – 2e en 50h17min

3. Simon Savre – 3e en 52h30min

4. Lorris Pasquier – 4e en 54h45min

5. Benjamin Bodot – 5e en 56h10min

Diane Servettaz la Savoyarde, s’est distinguée en franchissant la ligne d’arrivée en 72h38min, vainqueur chez les femmes.

Nous nous sommes baladés au milieu des inscrits, lors de la journée des contrôles des vélos, la veille du départ. Ils ont tous le sourire, un peu stressés, mais heureux de participer à cette manche du Championnat du Monde d'ultra distance.

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Invoxia Bike Tracker : la sécurité discrète et intelligente pour votre vélo

Invoxia est une entreprise française reconnue pour ses innovations dans le domaine des objets connectés. Leur Bike Tracker a été récompensé pour son design discret et son efficacité, offrant aux cyclistes une tranquillité d'esprit inégalée.

Face à la recrudescence des vols de vélos, notamment en milieu urbain, Invoxia propose une solution efficace et discrète : le Bike Tracker. Ce traceur GPS se dissimule habilement dans un catadioptre arrière, rendant sa présence quasiment indétectable pour les voleurs.

Nous avons reçu Clément Moreau le Ceo d'invoxia, pour parler de la récente enquête maison effectuée auprès de 7000 personnes, clients, anciens clients, qui ont répondu sur leur expérience de vol. "il y a pas mal de choses que nous avons appris, particulièrement sur le vol et sur l'efficacité des traceurs. Des chiffres surprenants : 50 % des vols de vélos se font en pleine journée, la moitié des vols se font en lieu privé" nous dit Clément Moreau.

L'enquête précise également que 50 % des vélos avec traceurs sont retrouvés.

L'installation du Bike Tracker est simple et rapide. Une fois fixé à votre vélo, il fonctionne de manière autonome et vous alerte en cas de mouvement suspect. L'application mobile intuitive vous permet de configurer des zones de sécurité (géofencing) et de consulter l'historique des déplacements de votre vélo.

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